Tous les articles par Louisson Lucien coach de vie

Si vous faites comme cette Rose vous sortez dans la solitude.

Une rose rêvait de la compagnie des
abeilles, mais aucune n’osait se poser
sur ses pétales. La pauvre fleur restait ouverte toute la journée, sans succès.

Durant ses longues nuits, elle
imaginait un ciel rempli d’abeilles qui
s’approchaient affectueusement de son
cœur pour venir la butiner.

De tels songes lui permettaient de
résister à sa solitude le jour suivant,
quand elle recommençait à s’ouvrir à la
lumière du soleil.

Une nuit, la Lune, face à tant de
solitude, se pencha sur la rose et lui
demanda :

– Rose, n’es-tu pas fatiguée
d’attendre ?

– Si, mais je dois continuer à
lutter.

– Pourquoi ?

– Parce que si je ne m’ouvre pas, je
me fane.

_____________________________

 

La tentation est grande, quand on est
seul et qu’on éprouve des difficultés à
attirer le regard des autres, de
baisser les bras, de nous renfermer sur
nous-mêmes, de nous cloîtrer pour ne
plus subir d’échecs. Rêver une
relation, ce n’est pas la solution. Il
faut agir !

Au cœur de la solitude, la forme
unique de résistance c’est : rester
ouvert !

Donnez des signes de cette ouverture,
forcez-vous à sortir, à faire partie
d’un groupe, intéressez-vous aux autres
et vous finirez par attirer vers vous
celui ou celle que vous cherchez.

 

 

Une leçon de vie qui rendra la vie facile

Nous activons L’ÉCHEC par défaut à notre vie en ignorant cette loi, cette leçon de vie. Ne pas commencer quelques choses… Laisse moi vous raconter une histoire pour mieux partager cette leçon de vie avec vous

Je me souviens d’un professeur de sciences naturelles au collège. C’était une espèce de savant fou avec barbe épaisse et des idées bizarres. Du moins pour un scientifique. Il n’avait rien du rat de laboratoire, sec et rigoureux. Ce qui lui plaisait, c’était tirer une leçon philosophique de ses expériences.

L’une d’entre elles m’a particulièrement marqué.

Notre professeur était entré en classe avec une minuscule graine, un pot de terre et un peu d’eau dans une pipette.

“Regardez cette graine dit-il. Nous allons la planter. Et l’arroser pendant une semaine.”

Mais au bout de 7 jours, rien n’avait poussé.

Une semaine après, même constat :

Nous avions arrosé la graine, sans succès. Quelle expérience décourageante…

La troisième semaine, la plupart d’entre nous avait arrêté de croire qu’un jour la graine allait donne une plante. La frustration gagnait peu à peu l’ensemble de la classe, mais le professeur continuait d’arroser sa graine.

Au bout d’un mois, cependant, il nous fit signe d’approcher vers son bureau. Il y avait posé le pot de fleur.

“Qu’observez-vous jeunes gens ?” nous demanda-t-il en souriant.

Incroyable : la graine avait enfin germé !

La semaine suivante, quelle ne fut pas notre surprise lorsque nous vîmes une tige de bambou de 70 cm bien droite dans son pot !

Le professeur nous devait une explication…

“La graine de bambou chinois met environ 4 semaines pour germer. Mais ensuite, ce végétal est capable de pousser d’une bonne dizaine de centimètres par jour. Ceux qui ont relâché leurs efforts au bout de la troisième semaine n’avaient aucune chance de voir naître ce petit miracle de la nature. Les autres ont certainement compris que, parfois, il faut persévérer envers et contre tout pour obtenir des résultats. Un investissement au départ est largement payé plus tard.”


Pourquoi je vous raconte cette histoire aujourd’hui ?

La vie est un processus aussi lent que cette graine de bambou. Elle est souvent décourageante et même quand il nous semble que nous faisons tout pour nous en sortir, rien de bon ne nous arrive.

Mais pour ceux qui persévèrent, qui persistent, qui vont plus loin que les autres, il y a une fin positive. Une matérialisation d’une idée qui s’opère. Ceux-là sont toujours récompensés, d’une manière ou d’une autre.

Il y a une stratégie que je veux partager avec vous. Si nous ne voulez pas transformer votre vie en échec, ne jamais commencer quelques choses, projet pour s’arrêter en route. Si vous lancez dans la réalisation de vos projets et vous les abandonnez pour mettre beaucoup plus d’efforts pour réaliser un autre projet.

Laisse moi vous dire, l’échec sera activé par défaut à votre vie, vous finissez par abandonner encore et encore un projet pour un autre. À la fin de votre vie, vous comprendrez que vous n’avez fait rien pour changer votre VIE. Aucune réalisation, aucun projet finalisé. Ne pas activer l’échec à votre vie. Commencer et finaliser tout ce que vous avez entamé. Après vous passez à un autre projet.

Si vous êtes quelqu’un qui n’a rien accompli dans sa vie. Vous avez activé L’ÉCHEC à votre vie.
Alors REJOINDRE MY RÉUSSITE COACHING pour vous libérer, désactiver cet énergie D’ÉCHEC qui est à l’intérieur de vous.

VOTRE PARTIE INCOMPRÉHENSIBLE

Un porteur d’eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d’une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L’une des jarres avait un éclat, et, alors que l’autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu’à la maison du maître, l’autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d’eau
ne livrait qu’une jarre et demi d’eau à chacun de ses voyages.

Bien sûr, la jarre parfaite était fière d’elle, puisqu’elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu’elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.

Au bout de 2 ans de ce qu’elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s’adressa au porteur d’eau,
au moment où celui-ci la remplissait à la source.

“Je me sens coupable, et je te prie de m’excuser.”

“Pourquoi ?” demanda le porteur d’eau. “De quoi as-tu honte ?”

“Je n’ai réussi qu’à porter la moitié de ma cargaison d’eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l’eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l’eau.
Tu n’obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts”, lui dit la jarre abîmée.

Le porteur d’eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: “Pendant que nous retournons à
la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu’il y a au bord du chemin”.

Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au cœur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu’elle avait encore perdu la moitié de son eau.

Le porteur d’eau dit à la jarre “T’es-tu rendu compte qu’il n’y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune
du côté de la jarre parfaite? C’est parce que j’ai toujours su que tu perdais de l’eau, et j’en ai tiré parti.

J’ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.
Pendant 2 ans, j’ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais  je n’aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses.”

Morale de l’histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées.
Certains d’entre nous sont diminués par la vieillesse, d’autres ne brillent pas par leur intelligence, d’autres trop grands, trop
gros ou trop maigres, certains sont chauves, d’autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

Il vaut mieux prendre les autres tels qu’ils sont, et voir ce qu’il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout.

Il y a beaucoup de bon en vous !

Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. Souvenez-vous d’apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.

Merci d’apprécier amicalement mes imperfections – et, plus important pour vous – d’apprendre à aimer les  autres.


Avec GRATITUDE !
Louisson LUCIEN, coach, auteur, conférencier, Entrepreneur, mentor en développement personnel.

LE PRINCIPE FONDAMENTAL DES MILLIONNAIRES

Après avoir lu la biographie des hommes qui sont des icônes , des millionnaires . On vera qu’Ils étaient tous des gens disciplinés, Qui respectent les règles établies. Et, beaucoup d’autres veulent faire succès comme ces derniers … Mais , certains ne respectent même pas leurs propres principes fondamentaux. Dans cet article, je ne vais pas parler sur les principes moraux , religieux, civiques

Mais, sur quelque chose que beaucoup ignorent. Il y a les heures, les minutes, les secondes … Que les aspirants de la réussite ne doivent pas passer à côté d’une bonne gestion de temps.

Je vais vous parler d’une chose très importante que chaque personne devrait faire pour mieux gérer son temps et même sa vie. Certes, je vous dis qu’un plan est essentiel. Mais en plus de cela, il vous faut un échéancier quotidien. Cela veut dire vous devez bâtir un horaire pour vos tâches.

Donnez une échéance à chacune de vos tâches, ou chacun de vos projets. Dans votre agenda vous devriez mettre plus de temps pour les activités plus importantes. Et les placer en première place dans votre agenda. Vous savez que l’homme qui vise la réussite, ne va pas dans son lit comme le font certains , il est pour lui plutôt question de bosser plus et dormir moins.

Vous voulez réussir vraiment, alors commencez à laisser vos habitudes infructueuses !
Si vous arrivez à comprendre et maîtriser vos ressources, vos forces intérieures, vous arriverez à faire des choses qui paraissent aux yeux des autres irréalisables. Surtout que vous avez un plan qui s’explique d’où commencer, comment ça va se faire et où ça va terminer. Un plan qui trace du début jusqu’à la fin du projet, qui a été élaboré par vous ou votre équipe. L’une des choses importantes pour la réussite dans la vie, c’est de gérer chaque seconde de notre journée ou de notre existence à bon escient.

N.B sache que nous sommes limités s en temps en espace !

si notre article vous a aidé, laisser nous un commentaire que nous serons contents de vous répondre.

et cliquer sur partager pour aider vos amis comme nous venons de vous aider….

Vous faites avoir …-HISTOIRE POSITIVE

Dans une réunion de grands vendeurs, le grand crac, celui qui fait, depuis 20 ans, plus de chiffre que tout le monde et gagne plus en commissions que le patron, fait un exposé :

“Et maintenant, je vais vous livrer le secret de mon succès.
Je l’ai écrit sur une feuille et mis dans cette enveloppe. Mais le succès se mérite. Je vais donc vendre cette enveloppe, qui le contient, vous en avez ma parole, tous le secret de ma réussite
non seulement dans la vente mais aussi dans la vie, aux enchères.”

Les enchères commencent, d’abord timidement… 5 euros, puis 10 euros, puis 50, 100, 130, 150, 200… finalement, un de ses
collègues remporte les enchères avec un peu plus de 1.000 euros.

L’heureux gagnant prend l’enveloppe. Il la garde précieusement, et le soir, dans sa chambre, il ouvre l’enveloppe pour savoir
enfin LE SECRET DU SUCCES.

A votre avis, qu’y a-t-il sur cette feuille de papier ?

Réfléchissez un instant. Notez mentalement ce qui vous vient à l’esprit, avant de lire la réponse. Car je vais vous révéler, effectivement, plus bas dans cet article, ce qui était écrit sur
cette feuille de papier — et qui vaut, à mon avis, bien plus que 1.000 euros.

Le gagnant de l’enchère déchire l’enveloppe, tire la feuille, la déplie, et il y a seulement ces quelques mots manuscrits :

===============

IL

FAUT

SAVOIR

DEMANDER

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“L’action n’entraîne pas toujours le bonheur, mais il n’y a pas  de bonheur sans action.”
Benjamin Disraeli

“Mieux vaut faire les choses que d’espérer qu’elles se feront.”
Proverbe écossais

Source club positif

3 stratégies pour réussir une relation amoureuse à distance.

On est au XXI siècle, et on vit à l’ère du numérique. Des milliers de relations amoureuses se déroulent sur les réseaux sociaux . Mais, très peu durent longtemps.

Si vous vivez une aventure à distance, si votre conjoint(e) a laissé le pays où vous vous trouvez, vous avez donc besoin de Sauvegarder votre relation amoureuse. Quoi faire?

Il est conseillé

1- de maîtriser le décalage horaire, il vous faut donc
une idée sur les fuseaux horaires. Vous devez savoir le fuseau horaire spécifique du pays où se trouve votre conjoint(e), sinon vous risquez le/la déranger certaines fois.

2- d’utiliser plus d’images
que de texte . D’ailleurs, on dit qu’une image vaut plus mille mots. Cela vous permettra de toujours trouver des choses à vous dire. Quand le temps se présente à vous , profitez-en pour parler de tout.

3- de choisir les bons mots, faites toujours l’usage des mots doux, sexy et réconfortants sont de mise.

Cache un grand secret derrière ces stratégies . Après les avoir lues , partagez ce contenu et rejoignez moi sur les réseaux sociaux via Louisson LUCIEN Coach pour découvrir de nouvelles choses . Pour faire simple, me laisser un commentaire sur notre plateforme.

Une leçon familiale qui fera toute la différence dans notre foyer

Un mari dit à sa femme : Mon amour, ma famille me manque, mes parents, mes frères, mes soeurs, leurs époux, et leurs enfants me manquent.
Peux-tu préparer un dîner pour demain, stp ? Comme ça je vais les inviter aujourd’hui, pour venir dîner avec nous demain.

L’épouse répond en soupirant: – Ouf! Demain si Dieu le veut, je le ferai et ça va aller.
Le mari tout content: – Merci mon amour, je vais les téléphoner dans la journée, pour les inviter avec plaisir pour venir demain dîner à la maison.

Le lendemain matin, le mari va travaillé, espérant que sa femme allait faire un bon dîner pour sa famille qui devait venir à la maison.
Plutôt vers midi, le mari rentra à la maison, pour aider sa femme pour la réception de la visite familiale.
Aussitôt arrivé à la maison, il demanda à sa femme :

  • Mon amour, tu as déjà commencé à faire le dîner? Où en es-tu avec les préparatifs ? N’oublies pas que nos visiteurs seront là dans une heure! Dis-moi à quoi puis-je t’être utile, que dois-je faire pour t’aider?

La femme répond: – Non mon amour, je n’ai rien préparer pour eux, car ta famille dans cette maison n’est pas une visite. Elle mangera tout ce qu’elle trouvera à la maison.

Le mari déçu de la réponse de son épouse, et dit: – Que Dieu te pardonne! Et pourquoi ne me l’as-tu pas dit hier, que tu n’allais pas cuisiner?

L’épouse répond: – Téléphone les, et excuses toi; De toute façon, C’est ta famille!

Le mari fâché, prends les contacts de la voiture, et s’en allait.

Et aussitôt que prévu, la visite arriva avant l’heure. Mais quelle visite! C’était la famille de la femme, donc ses parents, ses deux sœurs avec leurs époux, ses 3 frères avec leurs épouses, et leurs neuf enfants.

Son père anthousiasmé, demanda : – Ma fille, il est où ton mari? Hier il m’a téléphoné, pour nous inviter tous, pour venir dîner ici chez vous aujourd’hui, car il a dit que ça faisait si longtemps qu’on se réunisse en famille.
Elle répond à son père toute bouleversée: – Mon mari vient de sortir dans pas longtemps, papa.
Le père répond: – Mais comment peut-il nous inviter pour le dîner, et sortir en nous abandonnant?

La femme toute bouleversée et choquée, car la nourriture qu’elle pensait recevoir avec la famille de son mari, n’était pas assez, et ce n’était pas une nourriture digne de recevoir sa famille, mais la famille de son mari.

Elle téléphona son mari:

  • Mon amour, mais pourquoi ne m’as-tu pas dit que c’était ma famille que tu avais invitée?
    Le mari répond: – Pour moi, ma famille ou ta famille, c’est notre famille à nous deux. Donc pour moi j’ai invité ma famille!
    La femme poursuiva: – Stp plaît mon amour, apportes de la nourriture préparée, car ici à la maison la nourriture n’est pas suffisante, et ce n’est pas une nourriture pour recevoir les visiteurs avec.

Le mari répond: – Désolée, je suis déjà loin! De toute façon, C’est ta famille… Tes parents ne sont pas des étrangèrs chez nous, sers les la nourriture que tu voulais servir à ma famille…

LEÇON:
« Fais à l’autre, ce que tu voudras qu’on te fasse. Et traites l’autre, comme tu voudras être traité. »

« Ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux. »

Le malheur ne vient pas seul / conte sénégalais 🇸🇳

Conte : Un malheur ne vient jamais seul !

Il était une fois une vieille femme qui partageait sa case avec un serpent et un oiseau. Chaque fois que l’oiseau pondait, le serpent avalait l’œuf.
N’en pouvant plus, l’oiseau alla voir la vieille femme et lui dit :

  • Un malheur ne vient jamais seul et seule la paix préserve le bon voisinage. Je voudrais que tu ailles dire au serpent d’arrêter d’avaler mes œufs.
    La vieille lui répondit :
  • Qu’est-ce qu’une personne vient faire dans une querelle de serpent et d’oiseau ? Cela ne me concerne pas. Va voir un autre !
    L’oiseau s’en alla voir la souris; celle-ci dressa ses moustaches et se mit debout. Alors l’oiseau lui parla :
  • Je voudrais que tu ailles voir la vieille pour qu’elle dise au serpent de cesser
    d’avaler mes œufs ; chaque fois que je ponds un œuf, il l’avale.
  • Tu sais bien que je vis toujours cachée dans la case de la vieille ; si elle me voit, aussitôt je meurs. Comment donc irais-je voir la vieille pour qu’elle parle au serpent ? Va voir un autre, cela ne me concerne pas.
  • Ah! Bon ! D’accord ! Un malheur ne vient jamais seul, répliqua l’oiseau.

  • L’oiseau consulta l’araignée. :
  • S’il te plaît, va dire à la vieille d’avertir le serpent pour qu’il épargne mes œufs ; chaque fois que je ponds un œuf, il l’avale.
  • Moi, toute toile que je fabrique la nuit dans la case, la vieille la défait quand elle se réveille. Je ne peux donc pas lui dire de ta part quoi que ce soit. Va voir un autre !

  • L’oiseau alla voir le chien et lui dit :
  • Chien, nous sommes tous dans la case. Je voudrais que tu dises à la vieille d’avertir le serpent pour qu’il cesse d’avaler mes œufs, car un malheur ne vient jamais seul.
  • Moi, je garde la maison de la vieille toute la nuit, mais quand son repas est prêt, je n’ai à ronger que les restes laissés par les enfants. Cette affaire ne me concerne pas, va voir un autre !

L’oiseau alla voir l’âne. Il lui parla en ces termes :

  • Âne, je voudrais t’envoyer dire à la vieille de dire au serpent de laisser mes œufs, car tu sais bien qu’un malheur ne vient jamais seul ! La paix préserve le bon voisinage.
  • Tu sais que la vieille m’accable de fardeaux et en plus, elle se met derrière moi et me frappe avec son bâton. Et qu’est-ce qu’un âne vient faire dans une querelle opposant un oiseau et un serpent ? Va voir un autre ! Je n’irai pas lui dire quoi que ce soit parce qu’elle ne m’aime pas ; elle est mon ennemie !

  • L’oiseau alla trouver le coq, le coq lui dit :
  • Moi, la vieille, c’est mon chant qui la tire de son sommeil, mais quand elle reçoit un étranger, elle ordonne qu’on m’attrape et qu’on m’égorge ; c’est mon ennemie. Je ne peux aller la voir pour qu’elle arrange une histoire entre le serpent et l’oiseau. Ça ne me concerne pas, va voir un autre.
  • L’oiseau s’exclama :
  • C’est bon ! Un malheur ne vient jamais seul et seule la paix préserve le bon voisinage. Je vous ai tous dit d’interdire au serpent d’avaler mes œufs et vous dites que cela ne vous concerne pas. Je vais voir le mouton.

  • L’oiseau s’adressa au mouton :
  • Je voudrais que tu ailles voir la vieille afn qu’elle parle au serpent ; chaque fois que je ponds un œuf, il l’avale, et tu sais qu’un malheur ne vient jamais seul !
  • La vieille m’entretient jusqu’à ce que je sois gras, m’élève dans sa cour jusqu’à ce que je devienne grand, et pourtant quand la Tabaski arrive, elle ordonne qu’on m’attrape et qu’on m’égorge. Une querelle entre une personne, un oiseau et un serpent ne me concerne pas. Va voir un autre !
  • L’oiseau partit chercher une allumette. Quand il revint, il dit :
  • Maintenant, j’ai parlé, je suis fatigué. Chaque fois que j’envoie quelqu’un, il refuse. Je vais faire ce qui me convient.
    Il prit l’allumette et mit le feu à la case.
    La vieille, l’âne, l’araignée, la souris, tous périrent dans l’incendie. L’âne qui était allé appeler au secours mourut au retour, brûlé par le feu.
    Quant au mouton, il servit de repas à ceux qui étaient venus éteindre le feu et refaire la case. Alors l’oiseau rassembla tout le monde et déclara :
  • Je prévoyais tout cela ; c’est pourquoi j’ai envoyé tout le monde pour dire à la vieille d’interdire au serpent d’avaler mes œufs. Chacun me répondait qu’une querelle entre un serpent et un oiseau ne le concernait pas.
  • Maintenant vous voyez les conséquences ! Seule la bonne entente préserve le voisinage. Un malheur ne vient jamais seul !

Conte du Sénégal 🇸🇳

LE BIENFAIT D?ÊTRE CRITIQUÉ


Ole Bull, le violoniste norvégien du siècle dernier, avait étudié avec de bons professeurs, mais pas d’excellents professeurs.

Il était si doué qu’il décrocha, à 25 ans, une tournée européenne.

Arrivé à Milan, un critique écrivit, après avoir assisté à son concert :

“C’est un musicien qui manque encore de formation. Certes, c’est un diamant, mais pour l’instant il n’est ni taillé ni poli.”

Lisant cette critique, il accusa le coup.

Puis il se leva, se rendit au siège du journal, et demanda à parler au journaliste. C’était un musicologue de 70 ans, qui savait de quoi il parlait.

Ole Bull écouta dans le détail tout ce que cet homme avait à dire sur son jeu, sur ses erreurs, sur ce qu’il pouvait encore améliorer.

Le lendemain, il annula le reste de sa tournée, retourna chez lui, changea de professeurs, et travailla son jeu pendant 6 mois.

Il reprit ensuite les concerts et connut un succès sans précédent, toute sa vie.

Nous pouvons prendre les critiques – si elles sont fondées – comme des atteintes à notre image, ou comme des incitations à changer, à progresser, à persévérer jusqu’à réussir.

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TROUVER UNE POUBELLE POUR VOS PROBLEME- HISTOIRE POSITIVE

Pendant son exil sur l’île de Jersey, exilé, malade, persécuté par une France qu’il aimait tant, Victor Hugo montait chaque soir contempler le coucher de soleil sur la falaise.

Là, il s’asseyait sur un banc et se livrait à de profondes méditations. A la fin, il se levait, choisissait un caillou plus ou moins gros et, du haut du rocher, le jetait avec satisfaction dans l’eau.

Ce manège n’avait pas échappé au groupe d’enfants qui jouait dans le voisinage. Un soir, une petite fille plus hardie que ses compagnons s’approcha du grand homme.

– Monsieur, pourquoi lancez-vous ces cailloux ?

Le poète sourit gravement :

– Ce ne sont pas des cailloux que je jette à la mer, mon enfant, ce sont mes lamentations.

Cette action symbolique comporte une leçon valable pour le monde d’aujourd’hui. Combien d’entre nous, et non des plus malheureux, passent leur temps à se plaindre, à s’attendrir sur eux-mêmes ? Cette attitude finit par engendrer une sorte d’indifférence à nos semblables : on reste prisonnier d’un univers dont nous sommes le centre.

Victor Hugo était un homme comme les autres : il lui arrivait de se plaindre. Mais, il avait au moins la force de se débarrasser de ses jérémiades en les envoyant au loin. Ensuite, il redevenait réceptif au monde, aux autres. Vous aussi, apprenez à jeter vos petits soucis à la mer…

 

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