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COMMENT ÊTRE ORIGINALE DANS VOTRE PROJET

Les grands esprits se communiquent. Ça m’arrive souvent d’avoir une idée sans révéler celle-ci à  personne. Et à  mon grand étonnement J’ai rencontré d’autres personnes qui ont déjà cette idée et même sur le point de départ…c’est pour vous dire que, rien n’est vraiment nouveau sur la terre.

Mais, l’important, vous êtes unique , votre personnalité ne serait pas celle des autres. Pour faire la différence dans votre projet utiliser votre comportement, votre manière de voir les choses….dans ce cas

Votre idée sera la bienvenue  partout, le fait qu’elle parait originale, géniale aux yeux de toutes les personnes à qui vous allez la présenter.

Une chose que beaucoup de gens ont souvent tendance  à faire, c’est d’imiter quelqu’un d’autre presqu’à 100% en mettant de côté leur originalité  . Ce n’est pas tout à fait normal. Si vous imitez quelqu’un qui a déjà connu du succès dans le domaine qui vous intéresse, il est pour vous un exemple, bravo.  Autrement dit, cultiver l’originalité autant de fois que possible.
Parce que votre idée reflète votre sagesse, votre type de personnalité.

Pour réaliser des choses merveilleuses, il faut que ça vienne d’une idée, d’une pensée créative comme les hommes qui ont réussi avant. Il faut avoir des idées, des pensées sur un domaine que vous aimez. Et une idée bien nourrie, choisie par votre cœur, réchauffée par des réflexions finira par concrétiser. La meilleure façon d’être vous même, c’est d’être original tout en créant votre idée. C’est votre personnalité !

quelque soit ce que vous comptez faire, vous avez besoin de vous donner  à plus de 95/100 afin d’assurer votre place parmi les autres.

si notre article vous a aidé, prière de nous laisser un commentaire que nous serons très heureux de répondre! nous sommes là pour continuer à vous accompagner 

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C’EST QUOI LE GPS DE VOTRE PROJET

Pour continuer sur le chemin du succès, après avoir eu votre idée, votre pensée, il vous faut un plan. C’est votre guide, votre GPS pour réaliser vos pensées, ce qui revient à dire le deuxième élément important constituant le système de la réussite que vous avez besoin dans votre aventure de la réussite c’est un plan.

Vous savez que le plan est un outil incontournable dans le cadre de la réalisation d’un projet, il vous permet de suivre la trajectoire réaliste de son évolution.

Puisque c’est vraiment important pour la réalisation de votre projet, je veux peser un peu làdessus, afin d’attirer votre attention. Un plan est l’outil qui sur lequel vous pourrez réussir votre pensée et cela vous donne la chance de trouver le financement pour que votre projet soit concrétisé. Il n y a pas d’autre moyen qu’un entrepreneur puisse expliquer ses intentions que dans son plan. De ce fait, pour faire un plan, je vais vous donner des questions que vous devrez poser sur votre pensée afin de schématiser votre plan. En voici ; D’où vient cette pensée ? Ou va-t-elle au juste ? Quel est le bien-fondé de cette pensée ? Combien faut-il de temps pour y arriver ?

Après avoir eu des réponses concrètes, cohérentes, hiérarchisées, automatiquement vous trouverez votre mécanisme qui serait un modèle en terme de stratégie, parce que à l’intérieur de vous il y a beaucoup plus de pouvoir que vous ne pouvez l’imaginer. C’est à vous de trouver les stratégies les plus efficaces que les autres.

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LES PORTES DE LA VRAIE CONNAISSANCE

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince
courageux, habile et intelligent. Pour parfaire
son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès d’un Vieux Sage.

“Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie”, demanda
le Prince.

“Mes paroles s’évanouiront comme les traces
de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant
je veux bien te donner quelques indications. Sur ta
route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes
indiqués sur chacune d’entre elles. Un besoin
irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche
pas à t’en détourner, car tu serais condamné à
revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis
t’en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans
ton cœur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis
cette route, droit devant toi.”

Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea
sur le Chemin de la Vie.

Il se trouva bientôt face à une grande porte sur
laquelle on pouvait lire “CHANGE LE MONDE”.

“C’était bien là mon intention, pensa le Prince,
car si certaines choses me plaisent dans ce monde,
d’autres ne me conviennent pas.” Et il entama son
premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur
le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre,
à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.
Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant,
mais pas l’apaisement du cœur. Il réussit à changer
certaines choses mais beaucoup d’autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent.

Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
“Qu’as-tu appris sur le chemin ?” “J’ai appris,
répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon
pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi
et ce qui n’en dépend pas”. “C’est bien, dit le
Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce
qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à
ton emprise.” Et il disparut.

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde
porte. On pouvait y lire “CHANGE LES AUTRES”.
“C’était bien là mon intention, pensa-t-il.
Les autres sont source de plaisir, de joie et
de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume
et de frustration.” Et il s’insurgea contre tout
ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez
ses semblables. Il chercha à infléchir leur
caractère et à extirper leurs défauts.
Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.

Un jour, alors qu’il méditait sur l’utilité
de ses tentatives de changer les autres, il croisa
le Vieux Sage qui lui demanda : “Qu’as-tu appris
sur le chemin ?” “J’ai appris, répondit le Prince,
que les autres ne sont pas la cause ou la source
de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions
et de mes déboires. Ils n’en sont que le
révélateur ou l’occasion. C’est en moi que
prennent racine toutes ces choses.” “Tu as raison,
dit le Sage. Par ce qu’ils réveillent en toi,
les autres te révèlent à toi-même. Soit
reconnaissant envers ceux qui font vibrer en
toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers
ceux qui font naître en toi souffrance ou
frustration, car à travers eux la Vie t’enseigne
ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu
dois encore parcourir.” Et le Vieil Homme disparut.

Peu après, le Prince arriva devant une porte
où figuraient ces mots “CHANGE-TOI TOI-MEME”.
“Si je suis moi-même la cause de mes problèmes,
c’est bien ce qui me reste à faire,” se dit-il.
Et il entama son 3ème combat. Il chercha
à infléchir son caractère, à combattre ses
imperfections, à supprimer ses défauts, à changer
tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout
ce qui ne correspondait pas à son idéal.
Après bien des années de ce combat où il connut
quelque succès mais aussi des échecs et des
résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
demanda :

Qu’as-tu appris sur le chemin ?”

“J’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en
nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres
qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à
briser.”

“C’est bien,” dit le Sage.

“Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à
être las de ma battre contre tout, contre tous,
contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ?
Quand trouverai-je le repos ? J’ai envie de
cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner,
de lâcher prise.” “C’est justement ton prochain
apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant
d’aller plus loin, retourne-toi et contemple
le chemin parcouru.” Et il disparut.

Regardant en arrière, le Prince vit dans le
lointain la 3ème porte et s’aperçut qu’elle
portait sur sa face arrière une inscription qui disait

“ACCEPTE-TOI TOI-MEME.”

Le Prince s’étonna de ne point avoir vu cette
inscription lorsqu’il avait franchi la porte la
première fois, dans l’autre sens. “Quand on combat
on devient aveugle, se dit-il.” Il vit aussi,
gisant sur le sol, éparpillé autour de lui,
tout ce qu’il avait rejeté et combattu en lui :
ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites,
tous ses vieux démons. Il apprit alors à les
reconnaître, à les accepter, à les aimer.
Il apprit à s’aimer lui-même sans plus se comparer,
se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :

“Qu’as-tu appris sur le chemin ?”

“J’ai appris, répondit le Prince, que détester
ou refuser une partie de moi, c’est me condamner
à ne jamais être en accord avec moi-même.
J’ai appris à m’accepter moi-même, totalement,
inconditionnellement.”

“C’est bien, dit le Vieil Homme, c’est la première
Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème
porte.”

A peine arrivé de l’autre côté, le Prince
aperçut au loin la face arrière de la seconde
porte et y lut

“ACCEPTE LES AUTRES”.

Tout autour de lui il reconnut les personnes
qu’il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu’il
avait aimées comme celles qu’il avait détestées.
Celles qu’il avait soutenues et celles qu’il avait
combattues. Mais à sa grande surprise, il était
maintenant incapable de voir leurs imperfections,
leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement
gêné et contre quoi il s’était battu.

Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. “Qu’as-tu
appris sur le chemin ?” demanda ce dernier.
J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en
accord avec moi-même, je n’avais plus rien à
reprocher aux autres, plus rien à craindre d’eux.
J’ai appris à accepter et à aimer les autres
totalement, inconditionnellement.” “C’est bien,”
dit le Vieux Sage. C’est la seconde Sagesse.
Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

Arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut la
face arrière de la première porte et y lut

“ACCEPTE LE MONDE”.

Curieux, se dit-il, que je n’aie pas vu cette
inscription la première fois. Il regarda autour
de lui et reconnut ce monde qu’il avait cherché à
conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé
par l’éclat et la beauté de toute chose. Par leur
perfection. C’était pourtant le même monde
qu’autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé
ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.

“Qu’as-tu appris sur le chemin ?”

“J’ai appris, dit le Prince, que le monde
est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit
pas le monde, elle se voit dans le monde.
Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai.
Quand elle est accablée, le monde lui semble
triste. Le monde, lui, n’est ni triste ni gai.
Il est là ; il existe ; c’est tout. Ce n’était
pas le monde qui me troublait, mais l’idée que
je m’en faisais. J’ai appris à accepter sans
le juger, totalement, inconditionnellement.”

C’est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme.
Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec
les autres et avec le Monde.” Un profond sentiment
de paix, de sérénité, de plénitude envahit le
Prince. Le Silence l’habita. “Tu es prêt,
maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit
le Vieux Sage, celui du passage du silence de
la plénitude à la Plénitude du Silence”.

Et le Vieil Homme disparut.

Texte de Charles Brulhart, Décembre 1995

Publié sur club positif

SOYEZ HEUREUX-HISTOIRE POSITIVE

Vous seriez plus heureux si vous aviez plus d’argent, n’est-ce pas?

Et si vous aviez plus de temps, et plus d’amour!

Nous arrivons à nous convaincre que notre vie serait meilleure si nous nous marions, avons un enfant, un nouveau travail… Puis nous sommes frustrés parce que les enfants ne sont pas encore assez grands, et que ce serait bien SI…

Après cela, nous sommes frustrés d’avoir des problèmes avec nos ados. Ce sera tellement mieux quand ils seront plus adultes!

Nous nous disons que notre vie sera complète quand notre mari ou notre femme arrêtera de faire n’importe quoi, quand nous aurons une plus belle voiture, quand nous nous payerons des vacances de rêve, ou quand nous serons enfin à l’âge de la retraite.

Ne remettez pas votre bonheur à demain.

La vérité, c’est qu’il n’y a pas de meilleur moment pour être heureux que…

MAINTENANT !!!

Si ce n’est pas maintenant, quand y arriverez-vous? Votre vie sera toujours pleine de défis. C’est quand même mieux de l’accepter et d’être heureux DE TOUTES FACONS. Le bonheur est la voie.

Donc appréciez chaque moment que vous vivez et aimez-le d’autant plus que vous le partagez avec quelqu’un de “spécial”… le temps ne vous attendra pas.

Cessez donc d’attendre…

** que votre voiture soit payée.

** d’avoir une nouvelle voiture ou une nouvelle maison.

** que vos enfants volent de leur propres ailes.

** de retourner faire des études.

** de perdre du poids.

** de reprendre du poids.

** de vous marier.

** de divorcer.

** d’avoir des enfants.

** d’être enfin à la retraite.

** l’été.

** le printemps.

** l’hiver

** l’automne.

** que la violence cesse.

Il n’y a pas de meilleur moment que MAINTENANT pour être heureux.

Le bonheur est un voyage, pas une destination.

Donc…

Travaillez comme si vous n’aviez pas besoin d’argent.

Aimez comme si vous n’aviez jamais été blessé.

Dansez comme si personne ne vous regardait.

Aimez chaque goutte du temps qui vous est donné, souriez, aimez la vie, aimez votre vie, aimez ce que vous faites.

“Si vous aimez et devez éprouver des désirs, faites que ces désirs soient vôtres:

Vous fondre en ce ruisseau onduleux qui chante une mélodie à la nuit.

Éprouver la douleur d’un débordement de tendresse.

Porter la blessure qui n’est due qu’à votre incompréhension de l’amour,

Et à en laisser couler le sang joyeusement.

Vous réveiller à l’aube avec un cœur ailé et rendre grâce pour cette nouvelle journée où il vous est permis d’aimer;

Méditer ensuite sur l’extase de l’amour;

Et revenir chez vous au crépuscule rempli de gratitude;

Enfin, vous endormir avec en votre coeur une prière pour l’êtreaimé et sur vos lèvres un chant de louanges.” (Gibran)

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qui est vraiment responsable? – HISTOIRE POSITIVE

Un habitant du New Jersey aux Etats-Unis vient d’intenter
un procès à l’hopital qui l’a soigné. Obèse, il avait désiré
se faire poser un anneau stomacal, censé l’empêcher de grossir.

Quelques jours après son opération, il furetait déjà dans
les couloirs de l’hôpital à la recherche des cuisines. Quand
il les trouva, il se dirigea tout droit vers l’immense frigo
et mangea tout ce qui lui passait sous la main. Son anneau sauta
et déclencha une hémorragie interne.

Le patient s’en est miraculeusement tiré. Mais il s’est
retourné contre ses sauveurs : “ce n’est pas ma faute” a-t-il
dit, “mais celle des docteurs qui auraient dû cadenacer le frigo !”

Si cette histoire vraie nous fait bondir c’est parce que
nous y reconnaissons nos propres faiblesses : en admettant que
le premier péché fut de manger le fruit défendu, le second est
celui qui nous pousse à l’excuser abusivement… Combien de fois
entendons nous cette phrase : “ce n’est pas ma faute, c’est LUI
ou c’est ELLE qui m’y a poussé ” ?

Or, pour vivre heureux, il faut savoir endosser la
responsabilité de nos actes et de nos échecs éventuels. Pourquoi ?
Parce que cette méthode courageuse est aussi la garantie que nos
réussites seront vraiment NOS réussites.

De merveilleuses choses vous arriveront si vous décidez enfin
d’être responsables de ce qui entre dans votre esprit et dans votre
corps.

> Remplissez votre ventre avec une nourriture saine.
> Faites fonctionner votre esprit en apprenant sans cesse.
> Imposez vous des attitudes positives et optimistes
> Apaisez votre coeur en vous forçant à croire que rien n’est
jamais désespéré, en le remplissant de courage et de confiance.

…………………………………………………………

C’est à vous de décider avec quoi vous remplirez le nouvel
agenda de votre vie !

…………………………………………………………

“L’aristocratie, c’est se donner à soi seul ses propres devoirs”
F. Nietzsche

Source club positif

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COMMENT DEVENIR UN CITOYEN DU MONDE

Continuer d’apprendre est l’élément de la continuité de la réussite. Chaque humain a la capacité d’apprendre chaque jour de nouvelle chose ou d’acquérir de nouvelle connaissance. La nature, la vie a toujours des surprises pour les humains, ce que je veux dire par là, partout, en toute circonstance et à travers de la majorité de personne il y a quelque chose à apprendre. Nul n’a la science infuse !

Apprenez avec les ainés

Alors, vous devez laisser vos idées de supériorité, et retrouver les ainés pour vous apprendre mieux la route. Ils ont des expériences !

Ils ont de bons conseils qu’ils peuvent nous prodiguer !
Savez-vous Comment faire un partenariat avec les ainés ?
Faire un partenariat avec les ainés qui sont déjà très connus dans le domaine n’est pas difficile, mais des exigences s’imposent car ce n’est pas toujours facile de les retrouver, parce qu’ils ont tellement de tâches à remplir, ils ont beaucoup de demandes de même nature que vous. Voici ce que vous devriez faire pour faire de l’ainé visé votre partenaire.

En premier lieu il y a la question de temps. Faites de votre mieux pour que vous soyez toujours disponible pour l’ainé, parce que ce n’est pas vous qui allez donner un horaire à l’ainé mais c’est lui qui va vous donner l’heure à laquelle il sera disponible. Ensuite, ceci, c’est juste une technique pour faire que cet ainé s’intéresse beaucoup plus à vous. Vous devriez lui donner quelques avantages. Par exemples, vous pouvez lui dire, il aura des pourcentages sur votre travail, vous pourrez augmenter ses contenus pendant un certain temps. De toute façon, il faut qu’il y ait un échange. Qui est la loi d’économie.

Il y a des gens qui deviennent des génies dans un domaine c’est à l’aide des ainés qui les ont accepté et travaillé avec eux. Ils ont les transmis les éléments qu’il fallait étant qu’ainés pour une réalisation la plus parfaite de leurs projets.
Autant de fois qu’il vous est possible, pensez à côtoyer des ainés ou disons des gens qui ont plus d’expériences que vous. C’est sage de le faire et ce sera pour votre bien-être ou votre réussite !

Apprenez dans un espace de recherche

Vous pouvez aller dans un espace pour continuer à modeler votre cerveau. Soit dans un espace universitaire ou autre.

Ce que vous ne savez pas, vous avez beaucoup de concurrences, vous n’êtes pas le seul dans votre domaine, il vous faut plus de connaissances de jour en jour.

Fréquentez un espace qui vous facilite des recherches vous permet davantage d’être capable d’émettre des idées positives, savoir des nouveaux concepts, bref, ça vous permet d’hisser votre niveau. Et à ce moment-là vous pourrez mieux aider les gens à mieux réfléchir et prendre leur situation à cœur.

Automatiquement, vous devenez une source où les gens de votre communauté peuvent puiser d’une manière ou d’une autre. Grâce à vos recherches vous serez en quelque sorte une lumière qui éclaire les autres.
Quand vous ajoutez de nouvelles connaissances, vous faites d’élargir votre horizon et votre capacité d’apprentissage. Autant que vous étudiez, c’est autant que votre cerveau devient plus sensible pour mémoriser les nouvelles connaissances que vous lui envoyées.

Alors à défaut d’un espace de recherche, je vous conseillerais quand même de faire des recherches où cela vous est possible en fonction de vos moyens ! Sachez que votre niveau de connaissance détermine le degré de votre réussite !

N’oublie pas de partager cet article  à vos amis ….Ils seront reconnaissants envers vous…

SANS VOTRE COEUR, VOUS BRISEZ VOTRE CERVEAU

 

J’ai rencontré tellement de personnes qui m’explique comment elles ont dû lutter pour réussir dans tel domaine. Mais ,elles ne peuvent pas arriver…

Je pensais à partager la réponse que je donnais ces personnes. A l’idée que ça pourrait vous aider aussi .

La solution est simple!

Il faut fixer ou orienter vos pensées, vos projets, ou vos idées vers un domaine qui vous intéresse vraiment, parce qu’en faisant une chose que vous aimez cela mettre à votre dispositions vos pouvoirs intérieurs qui vous faciliteront la tâche. Votre énergie serait doublée.

Comme ça vous ne ressentez presque pas la fatigue, l’ennui. Ensuite, s’il faudrait aller se coucher, vous n’aurez presque plus d’envie d’aller au lit sans avoir terminé une chose déjà commencée dans le cadre de la réalisation de votre projet. Le cœur ne vous laisse pas tomber, cela vous motive beaucoup plus à travailler parce que vous avez fait choix d’un domaine que vous aimez, une chose que vous prendrez à cœur.

C’est bien cela que beaucoup de personnes ne profitent pas de leurs pouvoirs intérieurs pour faire des choses qui peuvent féliciter par d’autre, qui serait influencer aussi les gens de leurs quartiers.

Mais, au lieu de s’occuper de leur propre situation, elles passent tout le temps à critiquer les autres. Sachez que la réussite d’une personne n’est pas votre réussite, c’est à vous de trouver vos idées pour réussir votre vie comme d’autres ont fait.

Laissez-moi vous dire que, la vie est appartenue à ceux qui savent lutter, à vous de combattre, c’est votre jeu, vous avez les manettes dans vos mains. Il faut gagner. Prenez votre responsabilité pour faire face à votre dragon, sans le laisser pas vous dévorer. Et sachez que les éléments du système de la réussite doivent être votre carte de jeux pour anéantir la pauvreté, la misère.

Si vous avez aimé ou Notre article vous a aidé. Nous vous invitons à le partager.

SOYEZ POSITIF – HISTOIRE POSITIVE

Voici une histoire qui nous fait avoir une pensée positive et nous apprends qu’il faut persévérer envers et contre tout pour obtenir ce que l’on veut.

Je me souviens d’un professeur de sciences naturelles au collège.

C’était une espèce de savant fou avec barbe épaisse et des idées bizarres. Du moins pour un scientifique. Il n’avait rien du rat de laboratoire, sec et rigoureux. Ce qui lui plaisait, c’était tirer une leçon philosophique de ses expériences.

L’une d’entre elles m’a particulièrement marqué.

Notre professeur était entré en classe avec une minuscule graine, un
pot de terre et un peu d’eau dans une pipette.

“Regardez cette graine dit-il. Nous allons la planter. Et l’arroser pendant une semaine.”

Mais au bout de 7 jours, rien n’avait poussé.

Une semaine après, même constat :

Nous avions arrosé la graine, sans succès. Quelle expérience décourageante…

La troisième semaine, la plupart d’entre nous avait arrêté de croire
qu’un jour la graine allait donne une plante. La frustration gagnait peu à peu l’ensemble de la classe, mais le professeur continuait d’arroser sa graine.

Au bout d’un mois, cependant, il nous fit signe d’approcher vers son bureau. Il y avait posé le pot de fleur.

“Qu’observez-vous jeunes gens ?” nous demanda-t-il en souriant.

Incroyable : la graine avait enfin germé !

La semaine suivante, quelle ne fut pas notre surprise lorsque nous vîmes une tige de bambou de 70 cm bien droite dans son pot !

Le professeur nous devait une explication…

“La graine de bambou chinois met environ 4 semaines pour germer. Mais ensuite, ce végétal est capable de pousser d’une bonne dizaine de centimètres par jour. Ceux qui ont relâché leurs efforts au bout de la troisième semaine n’avaient aucune chance de voir naître ce petit miracle de la nature. Les autres ont certainement compris que, parfois, il faut persévérer envers et contre tout pour obtenir des résultats. Un investissement au départ est largement payé plus tard.”


La vie est un processus aussi lent que cette graine de bambou.

Elle est souvent décourageante et même quand il nous semble que nous faisons tout pour nous en sortir, rien de bon ne nous arrive.

Mais pour ceux qui persévèrent, qui persistent, qui vont plus loin que les autres, il y a une fin positive.

Ceux-là sont toujours récompensés, d’une manière ou d’une autre.

Une histoire pour une pensée positive …

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LA VRAIE LEÇON DE LA VIE – HISTOIRE POSITIVE

Un jour, un vieux professeur de l’École Nationale d’Administration
Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la
planification efficace de son temps à un groupe d’une quinzaine de
dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l’un des 5 ateliers de leur journée de
formation. Le vieux prof n’avait donc qu’une heure pour “faire
passer sa matière”.

Debout, devant ce groupe d’élite (qui était prêt à noter tout
ce que l’expert allait lui enseigner), le vieux prof les regarda
un par un, lentement, puis leur dit : “Nous allons réaliser une
expérience”.

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof
sortit un immense pot de verre de plus de 4 litres qu’il posa
délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine
de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça
délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut
rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou
de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :

“Est-ce que ce pot est plein ?”.

Tous répondirent : “Oui”.

Il attendit quelques secondes et ajouta : “Vraiment ?”.

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un
récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur
les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de
gravier s’infiltrèrent entre les cailloux… jusqu’au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et
réitéra sa question  :

“Est-ce que ce pot est plein ?”. Cette fois, ses brillants élèves
commençaient à comprendre son manège.

L’un d’eux répondît : “Probablement pas !”.

“Bien !” répondît le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table
un sac de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot.
Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le
gravier. Encore une fois, il redemanda : “Est-ce que ce pot
est plein ?”.

Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves
répondirent :

“Non !”.

“Bien !” répondit le vieux prof.

Et comme s’y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le
pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu’à ras
bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :

“Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?”

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce
cours, répondit : “Cela démontre que même lorsque l’on croit que
notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment,
on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire”.

“Non” répondît le vieux prof. “Ce n’est pas cela. La grande
vérité que nous démontre cette expérience est la suivante :

“Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot,
on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite”.

Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de
l’évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : “Quels sont les gros cailloux
dans votre vie ?”

“Votre santé ?”

“Votre famille ?”

“Vos ami(e)s ?”

“Réaliser vos rêves ?”

“Faire ce que vous aimez ?”

“Apprendre ?”

“Défendre une cause ?”

“Vous relaxer ?”

“Prendre le temps… ?”

“Ou… tout autre chose ?”

“Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses GROS
CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas
réussir… sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier,
le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n’aura plus
suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants
de sa vie.

Alors, n’oubliez pas de vous poser à vous-même, la
question :

“Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?”

Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)”

D’un geste amical de la main, le vieux professeur salua son
auditoire et quitta lentement la salle.

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SAUVER DES VIES-HISTOIRE POSITIVE

Un prof avait l’habitude, en fin d’études, de donner un cordon
violet sur lequel on pouvait lire “Qui je suis fait toute la différence”
imprimé en lettres dorées.

Il disait à chaque étudiant à cette occasion pourquoi il l’appréciait
et pourquoi le cours était différent grâce à lui.

Un jour, il a l’idée d’étudier l’effet de ce processus sur la communauté,
et envoie ses étudiants remettre des cordons à ceux qu’ils connaissent
et qui “font la différence”.
Il leur donne 3 cordons en leur demandant ceci : “Remettez un cordon violet à
la personne de votre choix en lui disant pourquoi elle fait la différence
pour vous, et donnez-lui deux autres cordons pour qu’elle en remette
un elle-même et ainsi de suite.

Faites-moi ensuite un compte-rendu des résultats.”

L’un des étudiant s’en va, et va le remettre à son patron
(car il travaillait à mi-temps) un gars assez grincheux, mais qu’il
appréciait. “Je vous admire beaucoup pour tout ce que vous faites,
pour moi vous êtes un véritable génie créatif et un homme juste.

Accepteriez-vous que j’accroche ce cordon violet à votre veste en
témoignage de ma reconnaissance ?” Le patron est surpris, mais
répond “Eh bien, euh, oui, bien sûr…”

Le garçon continue

“Et accepteriez-vous de prendre des 2 autres cordons violets
pour les remettre à quelqu’un qui fait toute la différence pour
vous, comme je viens de le faire ?

C’est pour une enquête que nous menons à l’université.”

“D’accord” Et voilà notre homme qui rentre chez lui le soir,
son cordon à la veste. Il dit bonsoir à son fils de 14 ans, et lui raconte :

“Il m’est arrivé un truc étonnant aujourd’hui.

Un de mes employés m’a donné un cordon violet sur lequel il est écrit, tu peux le voir,

“Qui je suis fait toute la différence”.

Il m’en a donné un autre à remettre à quelqu’un qui compte beaucoup
pour moi.

La journée a été dure, mais en revenant je me suis dit qu’il y a une personne,
un seule, à qui j’aie envie de le remettre.

Tu vois, je t’engueule souvent parce que tu ne travailles pas assez,
que tu ne pense qu’à sortir avec tes copains et que ta chambre est
un parfait foutoir… mais ce soir je voulais te dire que tu es très important
pour moi.

Tu fais, avec ta mère, toute la différence dans ma vie
et j’aimerais que tu acceptes ce cordon violet en témoignage de mon
amour.

Je ne te le dis pas assez, mais tu es un garçon formidable !”
Il avait à peine fini que son fils se met à pleurer, pleurer, son corps tout
entier secoué de sanglots. Son père le prend dans ses bras et lui dit
“Ca va, ça va… est-ce que j’ai dit quelque chose qui t’a blessé ?”

“Non papa… mais.. snif… j’avais décidé de me suicider demain.

J’avais tout planifié parce que j’étais certain que tu ne m’aimais
pas malgré tous mes efforts pour te plaire. Maintenant tout est changé…”

Et pour vous c’est qui la personne qui fait toute la différence ?

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Source club positif